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La suggestion du moment : objectif équilibre, santé et minceur

Pour retrouver tonus, légèreté, santé, joie de vivre et envie d’entreprendre,

pour perdre du poids, accompagner les transitions difficiles, éviter la déprime et la maladie,

il est indispensable de commencer par soigner son équilibre et son hygiène de vie : alimentation, mode de vie sain, bon moral, pensées positives, projets, enthousiasme et détermination… Commençons par le début.

Alimentation :

A limiter ou à proscrire pendant un temps afin de purifier et alléger l’organisme, car les aliments suivants sont source de toxines et de mauvaises graisses, difficiles à digérer, polluants et acidifiants, souvent transformés industriellement, raffinés (dépouillés de leurs substances nutritives) et riches en sucres :

  • les aliments à base de lait de vache (lait, yaourts, petits suisses, fromages blancs ou secs, crème fraîche et crèmes glacées…) ; préférer les yaourts, faisselles et fromages de chèvre ou de brebis.
  • les aliments à base de gluten (blé notamment) surtout s’ils sont raffinés (blancs) : pain blanc, pâtisseries et gâteaux, pâtes, préparations à base de pâte (pizza, quiche, feuilletés)…
  • les excès de viande, surtout de mauvaise qualité, car elles sont porteuses d’hormones de croissance données au animaux pour qu’ils grossissent rapidement, d’antibiotiques et autres substances toxiques et indigérables pour notre organisme
  • le sucre raffiné sous toutes ses formes : confitures, jus de fruits industriels, pâtes à tartiner, crèmes dessert, biscuits et gâteaux, sodas, bonbons… Il est présent partout même dans les fabrications salées ; préférer le sucre naturel présent en quantité suffisante dans tous les aliments bénéfiques à l’organisme…

A privilégier en augmentant progressivement leur apport dans nos repas quotidiens, bio de préférence ou issus de l’agriculture raisonnée (s’ils sont parfois un peu plus chers, leur qualité nutritive bien supérieure réduira le besoin en quantité) :

  • les fruits et légumes frais, de saison et locaux
  • les légumineuses (pois, haricots, lentilles sous toutes ses formes…)
  • les céréales ½ complètes en limitant celles à base de gluten (et non OGM car elles déstabilisent le système hormonal parfois jusqu’à la stérilité)
  • les laits et crèmes végétaux (amande, noisette, avoine, quinoa, riz…) : le soja est à utiliser de façon modérée car il peut perturber le système endocrinien.

Les repas :

Le corps a besoin de certains carburants à des moments particuliers, en qualité et en quantité appropriées, pour fonctionner de manière harmonieuse, notamment au niveau hormonal :

« un petit déjeuner de roi, un déjeuner de prince, un dîner de pauvre »

Le petit déjeuner doit être essentiellement salé, avec un apport suffisant en acides gras essentiels, accompagné d’une boisson chaude et d’un ou deux fruits frais, quelques féculents (pain ½ complet, riz…) et de quelques fruits secs pour l’énergie. On oublie donc le lait + tartines confiture ou céréales bien trop riches en sucres rapides sans apport nutritionnel suffisant ni dopamine pour tenir jusqu’au déjeuner.

Exemples au choix : thé, infusion ou café, une banane et une pomme (ou un smoothie avec du lait végétal d’amande), pain aux céréales avec du bon beurre bio (ou du beurre végétal) fromage de chèvre frais + une cuillérée de miel, du thym et de l’huile d’olive, ou une tranche de jambon, un œuf à la coque, des fruits secs (amandes, noix, noisettes, dattes, figues, pruneaux, abricots, baies de goji, mulberries…) ; la richesse et l’équilibre du petit déjeuner, repas essentiel pour bien démarrer la journée, permettra de tenir largement jusqu’à la pause de midi.

Le repas de midi pourra être composé d’une crudité (assaisonnée d’huile d’olive, de colza ou de noix + jus de citron + son d’avoine ou graines de lin mixées), d’un plat de céréales ou de légumineuses et des légumes ; viande, poisson, crustacés, fruits de mer 3 ou 4 fois par semaine est suffisant. Les sauces seront avantageusement remplacées de temps en temps par des crèmes de légumes (légumes crus ou cuits, mixés avec des herbes et aromates + une crème végétale).Le dessert est facultatif et pourra prendre la forme d’une compote maison, de fruits cuits ou de crèmes végétales.

Si la journée est un peu longue et énergivore, il est possible de prendre un encas sucré dans l’après midi : quelques carrés de chocolat noir à 70 %, des fruits frais et secs.

Le dîner sera composé d’une soupe, légumineuses, crudités ou légumes, un peu de riz, des fruits cuits, et pas trop tard… Manger léger le soir permettra de mieux dormir car le corps a besoin de tout cet espace non pas pour digérer mais pour gérer une multitude d’autres occupations nocturnes : équilibre et réparations biologiques, traitement et archivage des dossiers dans le cerveau, repos…

Les repas seront composés d’aliments crus et cuits dans une proportion qui conviendra à chacun, les aliments seront cuits d’une manière douce et resteront « al dente », les grillades et fritures sont donc à éviter.

D’une manière générale, il ne faut surtout pas tout changer d’un seul coup au risque de mettre l’organisme en panique : mieux vaut commencer par le plus important (le petit déjeuner) et réduire progressivement les aliments à éviter au profit de ceux à privilégier ; même si le réglage met plus de temps, il sera d’autant mieux accepté par l’organisme avec des effets bénéfiques durables. Il est tout à fait possible de s’accorder un « dérapage » une fois par semaine en consommant de manière raisonnable les aliments « proscrits », pour le plaisir et sans culpabilité, afin de garder la gourmandise et l’équilibre social et familial.

Il est nécessaire de manger assis, au calme (sans téléphone ni télévision…), bien mastiquer (c’est ici que la digestion commence…) pour préparer le bol alimentaire (une vingtaine de fois par bouchée !) et de prendre le temps suffisant pour se régaler.

Un jour de jeûne ou de monodiète (riz, raisins, pommes, bouillons de légumes…) pourra être envisagé un jour par semaine, par quinzaine ou par mois pour purifier l’organisme et lui permettre un bon repos. Pour les personnes non habituées, commencer par un jeûne ou une monodiète sur un repas, puis deux, puis trois dans une même journée pour ne pas mettre le corps en position de stress par manque d’habitude.

L’hydratation est indispensable : boire entre les repas (il n’est pas nécessaire de boire pendant les repas) au moins un litre d’eau pure, en plus du thé ou des infusions qui seront modérées (2 à 3 par jour) ; en outre, un demi bon verre de vin rouge (bio et si possible sans sulfite) est tout à fait recommandé une fois par jour, pour le plaisir et les antioxydants nombreux qu’il contient. Les autres alcools sont à consommer avec modération une fois par semaine.

Même si nous mangeons mieux, l’état de notre système digestif en dit long sur notre santé physique et psychique : nous veillerons donc à vérifier notre état de nervosité et/ou de stress, la bonne digestion au niveau de l’estomac d’abord et des intestins ensuite car un intestin poreux ou dont la flore est détériorée par trop d’acidité, de traitements chimiques (même anciens) ou une alimentation déséquilibrée, peut être la cause de bien des désagréments, depuis l’inconfort jusqu’à l’épuisement, la dépression, la maladie. La qualité du transit, des selles et des urines sont également de bons indicateurs.

L’état des autres organes : foie, rate, pancréas, côlon peut être aussi la cause de nombreux dysfonctionnements. Une cure de détox pourra dans certains cas être nécessaire, voire l’usage de probiotiques pour reconstruire la flore. Un auto-traitement n’est pas conseillé car le fautif n’est pas toujours celui que nous croyons ; il est indispensable de commencer par un réglage alimentaire, base de tout équilibre.

L’oxygénation et l’exercice physique sont naturellement nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme, l’ensemble (alimentation comprise) devant être adapté à l’âge, la corpulence et les activités professionnelles de chacun : marcher au grand air plusieurs fois par semaine, même quelques minutes, pratiquer trois fois par semaine pendant 30 mn un peu de sport non violent, respiration profonde et consciente et étirements pendant 5 minutes tous les jours matin et soir, au réveil et au coucher, saine et merveilleuse habitude dont votre corps sera reconnaissant.

Cette bonne hygiène de vie permet de limiter le stress, l’énervement, l’anxiété, les émotions envahissantes source de déséquilibres parfois sévères ; s’ils sont parfois en lien avec des facteurs sur lesquels nous ne pouvons agir, il est nécessaire de se concentrer sur les conseils qui précèdent pour limiter la fragilité d’un organisme saturé par de mauvaises habitudes alimentaires et de vie.

Prendre l’avis du médecin avant toute modification pour s’assurer de la compatibilité avec nos réels besoins et d’éventuels traitements en cours…

Au-delà ce ces suggestions pour favoriser l’équilibre physique et physiologique, il est indispensable aussi de prendre en compte l’impact des émotions sur notre santé, tout autant que notre système de pensée, véritable usine à influences… A nous de faire le tri, c’est un autre aspect important, nous en avons déjà longuement parlé dans nos précédentes infolettres.

Conseils spécifiques minceur :

Commencer par détoxifier l’organisme en fonction des besoins personnels (nettoyage des émonctoires, cure détox ou drainage), rétablir l’équilibre de la fonction digestive si nécessaire (état de l’estomac et des intestins notamment), rééquilibrer l’alimentation et l’hygiène de vie comme indiqué ci-dessus.

Boire un grand verre d’eau avant chaque repas (matin, midi et soir) ainsi qu’au coucher.

Utiliser de petites assiettes pour avoir la sensation de remplissage maximum. Se servir à l’assiette sans mettre les plats sur la table, reposer la fourchette à chaque bouchée.

Mâcher ou mastiquer le plus longtemps possible chaque bouchée (y compris ce qui est plus liquide) pour favoriser une meilleure digestion et la sensation de satiété qui intervient environ 20 mn après le début du repas : ceci permet de manger mieux et moins, et de ne pas se fatiguer pour digérer…

La médecine chinoise préconise de vérifier l’équilibre physiologique et psycho-énergétique de rate, pancréas et estomac, organes responsables des formes, et recommande de porter des couleurs chaudes, jaune orange, safran, de ne pas rester trop assis, d’éviter excès de froid, le trop cru ; l’anxiété et la rumination nécessitent de manger chaud, de toucher la terre, de se promener en contact avec la nature, sinon envies de sucreries et de chocolat interviennent pour compenser.

Si nous avons trop de poids, nous digérons moins bien ; digérer c’est aussi faire la part des choses, accepter, pardonner.

La minceur au naturel

La règle essentielle est de ne pas se priver, car les excès de poids ont souvent pour origine des déséquilibres psycho-émotionnels parfois bien cachés et anciens : les privations ou frustrations viennent raviver ces manques.

Il faudra donc manger mieux, de tout ou presque en petites quantités, privilégier les vitamines, fibres, minéraux et acides gras essentiels présents dans les aliments recommandés et pratiquer de l’exercice au quotidien pour faciliter le drainage et l’évacuation (marche, escaliers…), sans oublier la détente profonde indispensable pour que l’organisme puise dans l’apaisement ressenti, les ressources nécessaires au rééquilibre des problèmes à l’origine de la prise de poids. Le stress et les émotions non gérées peuvent favoriser un déséquilibre hormonal, le grignotage, la prise de tête et de poids… Une surveillance médicale, un bilan sanguin notamment, seront nécessaires pour vérifier qu’aucune anomalie grave ne menace la santé (fonctionnement de la thyroïde notamment, souvent à l’origine de la prise de poids).

Un bilan nutritionnel et naturopathique sera nécessaire pour permettre un ajustement aux besoins spécifiques de chacun, car les problèmes de poids peuvent avoir pour origine une multitude de déséquilibres différents ; même s’ils sont interdépendants, il est nécessaire de faire le point et de commercer par le plus important pour un résultat efficace et durable, avec patience et indulgence.

En complément des mesures diététiques

Prendre une cuillère à café de citron bio (pour le foie) le matin à jeun, alterner un mois sur deux avec du citron vert (pour la vésicule biliaire).

Manger davantage d’ananas car il contient de la bromélaine et de la pastèque en saison.

Privilégier le thé vert qui stimule la dégradation des graisses et des infusions diurétiques (queue de cerise, barbe de maïs par exemple), mais de façon modérée (2 à 3 fois par jour tout liquides confondus) pour éviter de léser la fonction rénale. Eviter de boire froid pendant et en dehors des repas car cela affaiblit la rate et les reins ; préférer les boissons tempérées.

En été, manger des aliments de nature tiède (à température ambiante), de saveur douce voire un peu piquante pour supporter les chaleurs extérieures car la transpiration permet de rafraîchir la surface du corps.

Les compléments nutritionnels peuvent être efficaces s’ils sont bien ciblés, de bonne qualité et bien adaptés à chaque cas, en synergie avec les réglages alimentaires appropriés et autres recommandations de l’hygiène de vie (pour limiter le grignotage, les envies de sucre, favoriser le métabolisme et l’évacuation des graisses, drainer l’eau, activer la thermogénèse, favoriser la réduction des apports caloriques de manière régulée, favoriser la sensation de satiété, désinfiltrer les tissus engorgés…). Mieux vaut consulter un spécialiste plutôt que de choisir à l’aveugle pour éviter les désagréments, les échecs et les dépenses inutiles.

Les produits amincissants locaux ne seront efficaces que s’ils sont accompagnés d’un bon massage profond et dynamique, type palper-rouler, régulier et sur une période assez longue pour favoriser ses effets, en complément des suggestions précédentes. Un bon massage amincissant pourra être efficace sans produit mais l’inverse n’est pas possible de manière durable, car il faut drainer la peau, décoller les graisses et les dissiper pour favoriser leur évacuation, grâce à l’eau bue et l’exercice physique.

L’aspect psycho-émotionnel :

Pour avoir et conserver une silhouette équilibrée, il est nécessaire d’équilibrer nos émotions…

Qu’il s’agisse de psycho-énergétique chinoise ou de décodage biologique, ces approches ont en commun d’admettre un lien entre l’état émotionnel d’une personne plus ou moins ancien et sa résonnance énergétique et donc physique possible ; autrement dit, les kilos en trop, même s’ils peuvent être d’origine multifactorielle, ont pour source un déséquilibre émotionnel non géré ou non digéré (voire hérité…), refoulé dans le subconscient, avec un effet sur la sphère mentale, le système endocrinien et la physiologie globale.

Il n’est pas possible de donner une définition globale et universelle des sources probables de déséquilibre car elles demeurent propres à chacun ; les quelques pistes ci-dessous peuvent cependant orienter la recherche personnelle pour trouver la clé d’une résolution durable des problèmes de poids, et retrouver l’équilibre dans sa tête et dans son corps, en passant par son assiette bien sûr.

Globalement, les kilos en trop nous parlent du manque d’amour chez l’enfant que nous étions et, à un moment donné, cette souffrance ingérable a été occultée. A chaque événement où ce ressenti peut refaire surface à la faveur d’un événement de vie qui n’a peut être rien à voir a priori, le corps prend du poids, comme pour se protéger…

Cette protection est un véritable système de défense contre une attaque émotionnelle réelle ou supposée, une carapace, et même un besoin de rapprochement physique avec quelqu’un qui a disparu ou s’est éloigné… La graisse vient ainsi renforcer et protéger une zone particulière considérée en danger, que le danger ou la zone soient réels ou symboliques. A contrario, les personnes en sous-poids souhaitent fuir, s’effacer, être suffisamment mince ou maigre pour disparaitre au yeux des autres, se fondre dans la masse, passer inaperçu ; autrement dit, en cas d’échec, de conflit ou de tension émotionnelle, ceux qui se protègent trop auront tendance à être gros et ceux qui fuient trop seront davantage maigres.

Certaines pistes de blessures anciennes peuvent nous aider : arrachement, souillure, séparation, abandon, agression, besoin de montrer sa puissance, son poids (impact), se faire remarquer, se faire voir davantage car nous avons l’impression de ne pas compter…

La cellulite représente globalement la peur de perdre la maison, symboliquement ou réellement, de perdre la protection et la sécurité, parfois même dans le couple ou l’image sociale. Accepter de perdre cette idée de peur, d’insécurité, de norme ou d’image, favorise souvent la perte de la cellulite.

Quelques lieux de stockage…

  • la taille : capacité d’engagement et de décision face au monde et avec soi même, c’est la base de centration de l’individu par rapport à l’extérieur ; l’absence de marquage suffisant indique que nous ne sommes pas assez centrés sur nous et nos objectifs propres, trop enclins à faire ou laisser prédominer les autres. Le petit ventre est aussi une marque de féminité et de douceur, comme pour rester en contact avec le ventre de l’autre (centre des émotions), émotions sensibles, à protéger. Une façon de compenser les carences de mère personnelles ou héritées.
  • les hanches : lien à la maternité, la famille, le mariage, au père (le fémur est l’os du père qui peut « faire mur » ou obstacle) ; les hanches larges sont une façon de compenser par le père symbolique ce que la mère n’a pas pu ou su donner. Les hanches sont aussi symbole de fécondité, appel sexuel héréditaire (les fesses et les hanches rebondies sont là pour prouver que nous sommes une bonne mère et bonne amante car nous n’avons pas au fond cette certitude).
  • les cuisses : insécurité face à l’homme, l’autorité, la famille, la sexualité, la maternité, l’enfant (que nous sommes et que nous avons) ; la culotte de cheval est historiquement la zone de réserve ancestrale pour allaiter l’enfant en cas de famine. On retrouve cet aspect chez les femmes qui n’ont pas été assez « nourries » affectivement ou physiquement et qui font des réserves généreuses pour leur progéniture (réelle ou potentielle). Le cheval est d’ailleurs symboliquement en rapport avec le père et la culotte pourrait aussi nous en protéger.
  • Les jambes : ne pas s’autoriser à quitter la mère (comme si les jambes représentaient la queue de la sirène qui ne peut pas quitter la mer)
  • La graisse au niveau de l’estomac est une protection du plexus et des émotions, des choses de la vie que nous n’arrivons pas à avaler, une volonté de faire le poids face à une situation ou de s’en tenir écarté.
  • Au niveau des épaules, c’est un désir de force pour éliminer ceux qui nous gênent

… il ne s’agit que de quelques exemples de pistes destinées à appréhender cette vision des liens de cause à effet probables et quelques prises de conscience potentielles… c’est déjà un bon début.

Pour parvenir à de bons résultats dans ce travail global sur les causes et les effets, il faut du temps, de la patience, de l’indulgence et beaucoup d’acceptation : si nous n’acceptons pas le corps que nous voyons dans notre miroir, il ne sera pas possible de trouver avec lui les solutions nécessaires à mettre en œuvre pour parvenir à un résultat plus en rapport avec nos souhaits. L’acceptation ne signifie pas résignation mais constat d’un état de la manière la plus neutre possible pour garder l’énergie nécessaire aux solutions à mettre en place. Si notre enfant nous fait face avec des problèmes de poids, qu’ils soient réels ou non, nous allons faire tout notre possible pour l’aider à accepter sa silhouette et opérer des changements d’alimentation, d’hygiène de vie ou d’équilibre émotionnel s’il y a lieu, mais nous ne rejetterons jamais son corps… c’est précisément ainsi qu’il faut faire avec le nôtre.

 

La pensée du moment : « Fais du bien à ton Âme pour que ton corps ait envie d’y rester». Proverbe indien

 

Programme des ateliers et formations

à Chazelles sur Lyon

le samedi 21 mai 2016 de 14 h à 18 h : Atelier Psycho-énergétique chinoise : les fondements du Tao, les méridiens, l’énergétique pratique, les liens loges/organes/émotions, les rééquilibrages

les 1er et 15 juin de 9 h à 17 h : formation réflexologie plantaire

les 4 et 5 juin ou 11 et 12 juin de 10 h à 18 h : initiation Reiki 1er degré

Autres stages en prévision sur juillet et août

(les personnes intéressées par ces formations peuvent nous contacter pour proposition de dates, y compris en semaine pendant l’été en fonction de nos disponibilités) :

  • Le sens caché des maux : introduction au décodage psychosomatique, empreintes de naissance et transgénérationnelles (en demi-journée)
  • Reiki (1er, 2ème et 3ème degrés)
  • Réflexologie plantaire (sur 2 jours)
  • Initiation au shiatsu traditionnel (sur 2 jours)
  • Massage assis japonais Amma (sur 2 jours, ouverts aux anciens stagiaires pour révision/supervision à demi-tarif)
  • Atelier fleurs de Bach (en demi-journée)
  • Atelier huiles essentielles et aromathérapie (en demi-journée)
  • Atelier Bien-être et santé au naturel : les principes de base en hygiène globale de vie, nutrition, automassage et digipuncture, traitements et cosmétique au naturel (en demi-journée)

Détails et autres formations sur notre site www.centresoinsnaturels.com

Renseignements et inscriptions : Mireille Cabirol au 06 15 47 55 09

Tarif commun aux ateliers, stages et formations : 50 € la demi-journée

Ateliers sur mesure pour groupes et associations à partir de 6 personnes

La Terra – 42140 Chazelles sur Lyon