C’est le temps des pommes, la pleine saison pour profiter si simplement de ses nombreux bienfaits. Elle est le fruit le plus consommé au monde, avant même la banane.

Pourtant considérée comme un fruit ordinaire, la pomme est en réalité une mine de bonnes choses pour la santé : riche en fibres, pauvre en calories, elle contient peu de sucre et du bon, des bons nutriments et antioxydants, l’essentiel de ses vertus les plus intéressantes est située dans la peau, il est donc important de la croquer. Avec de multiples variétés, chacun aura ses préférences, elle propose plusieurs saveurs et usages, crue, cuite, en compote, en jus… pour ses propriétés nutritive, elle sera préférée crue, tout simplement !

Même si la pomme d’aujourd’hui, cultivée avec davantage d’engrais et de pesticides, de conservateurs voire aspergée de vernis, même si pour toutes ces raisons elle n’a plus ses valeurs nutritives d’autrefois, elle demeure un aliment sain et bon pour la santé.

Nous la préférerons donc la plus locale et la plus bio, et si ce n’est pas le cas, mieux vaut enlever la peau sur une épaisseur d’environ 1 cm, eh oui ! pour neutraliser au maximum les toxines. Dans tous les cas, il sera grandement utile de la plonger dans une eau additionnée de bicarbonate pendant ½ heure, bio ou pas.

LES PRINCIPAUX ATOUTS DE LA POMME

Sa valeur nutritive : une pomme de 200 gr apporte environ 104 calories, 28 g de glucides, 5 g de fibres, et en apports journaliers recommandés 10 % de vitamine C, 6 % de cuivre, et +/- 5 % de potassium, vitamines K, E, B1 et B6

Sa richesse en fibres  solubles (pectines, surtout dans la peau) qui freinent l’absorption des glucides, protègent le tube digestif, réduisent le taux de sucre dans le sang et la tension artérielle, limitent le cholestérol et l’inflammation, favorisent la digestion et la circulation sanguine, la santé bucco-dentaire, des reins et du cerveau.

Elle est pleine de vitamines, indispensables pour le système immunitaire, le fonctionnement du cerveau et la forme

Les antioxydants sont nombreux dans la pomme, comme les flavonoïdes et les polyphénols, ils aident à éliminer les toxines et à neutraliser les radicaux libres à l’origine du vieillissement, des maladies chroniques, cardiaques et des cancers.

Elle est bénéfique pour le foie : la pomme contient de l’acide malique, cette molécule permet de réduire la fatigue cellulaire et d’en augmenter la régénération, notamment pendant la nuit.

Elle régule le diabète : en plus de ses fibres favorables à une meilleure régulation de la glycémie, la quercétine, un polyphénol présent en grande quantité dans les pommes, permet de réduire les risques de diabète de type 2.

Idéale pour le cœur : une à deux pommes entières par jour favorise une meilleure circulation sanguine, réduit le risque de maladies cardio-vasculaires et l’hypertension, grâce notamment aux fibres solubles et aux antioxydants.

Bonne pour le cerveau : ses propriétés contribuent à diminuer le déclin cognitif avec notamment la quercétine qui permet de réduire les dommages du stress oxydatif. Et lorsque l’on connait l’axe intestins/cerveau, on peut mieux comprendre que si l’on fait du bien à l’un, l’autre en profite, la digestion émotionnelle et la santé mentale s’en trouvent améliorées.

Elle favorise la santé intestinale : grâce aux fibres et notamment la pectine qui agit véritablement comme un prébiotique, ainsi qu’aux antioxydants, la consommation régulière de pommes entretient notre microbiote intestinal et prévient des maladies chroniques et graves et aurait des effets favorables sur les personnes atteintes de certains cancers notamment du tube digestif, des poumons et des seins.

Comme la pomme est un produit bourré de fibres, il sera préférable de la manger en début de repas ou aux collations pour permettre une meilleure digestion car elle transite plus rapidement dans l’estomac où sa fermentation en fin de repas pourrait créer des ballonnements. En fin de repas, elle pourra être consommée légèrement cuite. Bien entendu, ces recommandations seront à affiner en fonction de votre propre système digestif que vous seuls connaissez bien !

Bonne pour le sommeil : l’index glycémique réduit et les propriétés antioxydantes de la pomme en font une collation saine et légère avant le coucher pour favoriser la détente sans perturber le système digestif : le mental et le ventre sont détendus pour nous permettre un meilleur sommeil.

Alliée de la respiration : Les antioxydants, particulièrement la quercétine, réduisent l’inflammation des voies respiratoires liée à l’asthme allergique et la sinusite, tout en renforçant le système immunitaire.

Atout minceur : la pomme entière contient beaucoup d’eau et une faible teneur en sucre et en calories ; de plus, sa capacité à ralentir la vidange gastrique et à créer une sensation de satiété rapide peuvent être une aide majeure dans le contrôle du poids.

Nous sommes tous différents et l’impact de la consommation régulière de pommes, pas plus toutefois de deux à 3 par jour, n’aura pas systématiquement le même effet pour tout le monde. En cas de pathologie grave, sollicitez bien sûr l’avis de votre médecin. Bien entendu, cet apport s’inscrit dans la consommation recommandée de 5 fruits et légumes par jour. Le trop c’est comme le pas assez. Une alimentation excessive en pommes, aussi saines soient-elles, pourrait déséquilibrer le métabolisme.

En somme, intégrer des pommes dans son alimentation quotidienne est une bonne habitude, saine et gourmande pour contribuer à maintenir simplement la santé globale en se faisant plaisir.

Bel et savoureux automne à vous !

« Une pomme par matin éloigne le médecin » Proverbe anglais

Ressource complémentaire sur youtube : Les 10 bonnes raisons de manger des pommes! https://www.youtube.com/watch?v=KcQLWsWOutY

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Le Chi Nei Tsang (Chi = énergie, Nei = interne, Tsang = organes) est une pratique ancestrale taoïste, un soin abdominal complet et profond, grâce à différentes manœuvres et massages spécifiques, essentiellement sur le ventre. Il offre un véritable voyage intérieur, libérateur pour le corps et l’esprit : il soulage les tensions abdominales et le stress, améliore la digestion et le transit, libère les stagnations émotionnelles parfois enfouies depuis longtemps, favorise la détente, la paix intérieure, la respiration, l’équilibre du corps et du mental, renforce l’énergie vitale et le système immunitaire…

Pourquoi tant de potentiels dans le ventre ? Les médecines ancestrales et notamment la médecine chinoise traditionnelle, connaissent l’importance capitale du ventre dans le fonctionnement général du corps, qu’il s’agisse des viscères, du diaphragme grâce à la mobilité duquel les organes peuvent être massés, de la qualité du souffle (Chi de l’air) et de la qualité de l’alimentation (Chi de la nourriture). Dans la pure tradition du Tao, le Chi Nei Tsang se pratique depuis des siècles pour libérer le ventre de tout ce qui empêche l’énergie de circuler. Cet art issu des sagesses millénaires a été redécouvert en occident dans les années 70 grâce aux précieux enseignements de Maître Mantak Chia.

Plus récemment, les travaux du Professeur Mickael D. Gershon sont venus confirmer l’importance inouïe du ventre qu’il qualifie de 2^e cerveau. Le système nerveux entérique (SNE) est très complexe et spécialisé, doté de millions de neurones sensiblement identiques à ceux de notre cerveau (système nerveux central, SNC), ils communiquent tous deux et s’influencent mutuellement : le SNE affecte l’humeur et le comportement, le SNC peut perturber la digestion et l’élimination.

Rappelons que notre système digestif ne s’occupe pas uniquement de la digestion des aliments (encore faut-il qu’ils soient de bonne qualité !), il nous permet aussi, symboliquement mais avec des effets bien réels, de digérer les événements de nos vies, avec un impact direct sur notre santé mentale : comportements, indécisions, anxiété, dérèglements hormonaux, dépressions, maladies neurologiques…

Les expressions que nous employons régulièrement, sans y prêter attention, en disent long sur l’impact de nos expériences quotidiennes : avoir la peur au ventre, du mal à digérer une situation, un poids sur l’estomac, quelque chose en travers de la gorge… les mots et les maux du corps utilisent un langage qu’il nous faut apprendre à entendre et à accompagner, le ventre étant le centre de distribution des somatisations émotionnelles : s’il ne va pas bien, rien ne pourra transiter de façon assez fluide, avec des effets douloureux pour le corps et l’esprit comme la surcharge mentale, le manque de concentration, l’insuffisance d’énergie et d’enthousiasme, ainsi que les pathologies si nombreuses des organes digestifs.

Dans sa fonction physiologique, la digestion permet de fournir au corps l’énergie dont il a besoin et grâce à ce 2^e cerveau l’organisation globale est assurée : le péristaltisme (contractions musculaires nécessaires à la circulation dans les organes), la fabrication des enzymes et hormones, le maintien et la protection des muqueuses intestinales chargées du tri et de l’assimilation conformément aux besoins détectés, l’évacuation des intrus et des toxines. L’intestin est aussi en rapport direct avec notre système immunitaire et, bien que très autonome, le SNE est toujours en lien avec le cerveau principal : une mauvaise nourriture/digestion peut entraîner une surcharge mentale ; un stress important ou une grosse émotion peut entraver la digestion ; se sentir profondément en insécurité peut impacter notre système immunitaire…

Si l’on rajoute que la sérotonine, hormone du bonheur, est produite à 95 % dans la muqueuse gastro-intestinale… nous voyons l’importance capitale d’avoir un ventre en bonne santé !

Rappelons aussi qu’en médecine chinoise, chaque organe est associé à une émotion, et lorsque le Chi Nei Tsang propose la détox des organes par massage et évacuation, l’équilibrage du centre énergétique appelé Tan Tien et des pouls, le dégagement du diaphragme et la respiration profonde, le massage du nombril, premier lien du fœtus… on peut imaginer ses effets libérateurs sur les organes et sur les émotions stagnantes, parfois depuis si longtemps.

Les bienfaits de ce soin sont ressentis dès la première séance où alternent massage superficiel et profond, toujours respectueux des limites et au rythme du souffle, pressions et percussions légères, vibrations ciblées, dégagements physiques et émotionnels, afin de libérer les blocages – souvent inconscients – avec une sensation de détente abdominale et de légèreté immédiate, une meilleure santé physique et mentale, l’un au service de l’autre, en harmonie.

C’est une invitation à prendre soin de vos deux cerveaux, ils contiennent votre histoire et le terrain de votre avenir, de votre santé, de votre énergie et de votre bonheur, dans l’unité retrouvée !

 Venez découvrir le Chi Nei Tsang en séance individuelle au Centre de Soins Naturels : 1 h / 60 €

Nous proposerons une formation en 2026 sur deux fois deux jours.

Davantage d’informations sur simple demande !

  « Nos deux cerveaux, celui de notre tête et celui de notre ventre, doivent coopérer.

Si ce n’est pas le cas, il y a chaos dans le ventre et misère dans notre tête. »

Pr Mickael D. Gershon – The second brain –

Ressource complémentaire sur youtube : (activer les sous-titrages en français) Pourquoi l’intestin est-il appelé le 2^e cerveau ? : https://www.youtube.com/watch?v=JmumwXfIUoc

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Au moment où les fondements de l’ancien monde s’écroulent, avec son lot de peurs, de souffrance, d’incompréhension, nous nous sentons dépourvus et déçus, en colère même, tout en déplorant l’actualité, parfois en râlant, légitimement. Et si l’on réhabilitait la puissance de la prière ?

Mais qu’est-ce que la prière ? Une racine étymologique « être près de Soi, à l’intérieur » nous renseigne au-delà des religions qui contiennent aussi cette pratique, car elle se positionne avant tout comme un acte spirituel, une demande, voire même « une aspiration de l’âme » comme le propose Gandhi, qui ne nécessite pas de rituel et doit émaner pleinement du cœur… Comme un enfant qui demande ce dont il a besoin, avec détermination.

La prière pure, loin d’être une récitation automatique même si c’est un bon début, est une intention ciblée ou vaste, pour soi ou pour autrui, pendant laquelle l’Humain centralise son attention et son potentiel, un pont d’énergie créatrice entre le Ciel et la Terre que lui seul peut bâtir et entretenir.

La prière est un fondement majeur de la vie spirituelle, une demande de soutien, d’aide, de protection, de solutions dans un lien invisible corps/esprit. Si certains ont besoin d’intermédiaire, de cadre, de formules et de rituels pour soutenir et légitimer leur requête, d’autres s’adressent directement à leur « Moi supérieur », leur divinité intérieure… Qu’importe, nous sommes UN. La prière relie autant à soi qu’au reste du monde et au-delà, elle renforce la connexion et la valeur ajoutée que nous pouvons offrir à notre Terre et à l’Humanité, sans limite, sans exception…

Pourquoi prier ?

Pour se faire du bien : prier permet de focaliser son attention sur un choix volontaire avec des intentions positives, cela mène déjà à l’allègement mental, notamment pour les hyperactifs cérébraux. Cette pratique apaise donc les neurones mais aussi le niveau de stress et les pressions émotionnelles : on se sent mieux et utile, tout en réveillant le créateur et la puissance positive qui sommeillent en nous.

Les effets de la prière soutenue sur la psychologie sont profonds et durables, elle est relationnelle et nous propose un potentiel sans limite ; des études scientifiques affirment que la prière active certaines zones du cerveau en lien avec des émotions favorables et de détente. Un potentiel inouï sommeille en nous et ne demande qu’à être activé plutôt que de passer son temps à se morfondre ou à condamner, l’activité mentale est alors volontairement dirigée et nous devenons de puissants leviers, l’énergie de transformation est en route, même si elle peut mettre du temps à se manifester tant l’opposition est intense… Plus l’impatience gronde, plus la sagesse spirituelle est nécessaire.

Pour qui prier ?

Pour le monde qui nous entoure avec un objectif de résolution des conflits, des pénuries, des injustices ; plus précisément aussi pour soi bien sûr, afin de trouver la joie, la sérénité, l’amour, autant que pour dénicher un travail ou des solutions à nos problèmes, pour recouvrer la santé…

La prière pour autrui ne doit pas interférer avec son libre-arbitre, elle doit rester large « que la lumière vienne » avec compassion et indulgence, même ceux qui font souffrir sont sans doute les plus souffrants. Après la légitime réaction humaine, il est temps de faire place à plus efficace. Prier pour quelqu’un d’autre ou un collectif bénéficie toujours aussi à son émetteur, d’une manière ou d’une autre, car chacun récolte ce qu’il sème. N’oublions pas que les pensées, les paroles et les actes négatifs produisent des effets de même ordre, un jour ou l’autre.

Les pensées, les paroles et les actions bienveillantes peuvent être rapides, comme penser avec tolérance et compassion à quelqu’un, y compris à soi… La prière active se trouve sur la route de notre quotidien : j’ai besoin, je demande, pour que Tout aille mieux. A défaut de réussite partielle ou absolue (était-ce vraiment bon pour moi ?) cela change l’énergie produite dont nous sommes les seuls détenteurs individuels, et donc le résultat.

Comment prier ?

Dans cette concentration pleine de sollicitude, on peut être assis sur un coussin ou debout dans le métro, seul ou en groupe, en silence ou en pleine activité, aidé de supports audio ou de textes écrits, avec une figure spirituelle inspirante de notre sensibilité, et surtout des mots qui viennent du cœur, répétition ou élan spontané, pas de phrase négative, pas de complainte ni de supplication ; une puissante volonté d’être Humain qui active, avec toute la simplicité et l’énergie nécessaires, la loi de l’attraction, avec constance, détermination, ferveur même, foi inébranlable dans son propre potentiel. Et bien sûr humilité. Cela se cultive.

La demande est sincère, motivée non par le désir égotique de possession ou de pouvoir, mais par celui magnifique de l’évolution, de faire advenir la paix, la santé, la joie, l’Amour. Et l’abondance juste.

Si la méditation est un abandon à plus vaste que soi avec une diminution de l’activité mentale, la prière, dans un centrage similaire, est une activité cérébrale et verbale ciblée, le mental au service de l’Esprit, jusqu’à parfois devenir juste vibration… Silencieuse, chantée, clamée, les mains jointes ou les bras grands ouverts… la joie est son principal carburant.

Certaines traditions millénaires nous proposent la répétition de mantras « mots qui guérissent » ou de verbaliser un sankalpa « san =connexion + kalpa = vœu », une phrase, un souhait, une intention courte, claire, pure, sans négation, répétée avec foi et constance, pour soi d’abord et pour autrui, dans un ressenti corporel puissant (comme si c’était déjà réalisé) afin de servir une évolution matérielle ou spirituelle pour produire l’énergie d’accomplissement, comme on arrose constamment les graines semées jusqu’à l’éclosion, avec patience, bonheur et gratitude.

Il s’agit de mettre au centre de notre attention notre essentiel (essence-ciel), croire que c’est possible malgré les apparences, sans attente pourtant du résultat, pour se concentrer uniquement sur le plaisir de prier, de créer, et sentir l’énergie en expansion par notre seule volonté. L’élan du cœur physique et énergétique provoque inévitablement un flot d’espoir que l’on offre à l’Univers afin que notre prière puisse germer dans le champ quantique et faire fleurir la paix, le bonheur, l’abondance, en douceur et justesse.

« Demande et tu recevras »

Et toujours remercier, toujours… merci à soi d’avoir accompli cette bénédiction et merci pour ce qui vient.

De la prière à la gratitude

Nos demandes ont parfois un caractère précis puis vient un temps où l’on ressent une grande plénitude et la prière devient alors gratitude car les besoins sont comblés et ceux jadis exprimés ont moins d’intérêt, la sérénité les a dissous. La prière continue, centrée sur le Monde. La vie devient méditation et prière, les deux confondus… La route est longue, mais chaque jour est un pas de plus vers cet accomplissement, plein d’Amour à vivre et à partager.

Merci d’y croire, merci de votre contribution, merci pour Nous Tous ! Belle rentrée à vous, confiants du potentiel de chacun à se créer un meilleur avenir.

Si la prière ne change pas notre destin, elle change nos sentiments, ce qui n’est pas moindre.

Joseph Joubert

Ressource complémentaire : prière guidée sur https://youtu.be/89pvk51XK6I?si=ir_JPZafIexzlFtb

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Voici un petit aide-mémoire des astuces naturelles pour passer un été moins chaud en prenant soin de soi de façon simple et pourtant si efficace… Florilège de petits réflexes à la portée de tous, à la maison, au travail, ou en vacances !

Manger léger et équilibré bien sûr

Privilégier la nourriture si colorée de la saison estivale, mais pas uniquement des crudités qui peuvent être parfois irritantes pour les intestins voire trop froides pour l’estomac qui a besoin d’une température interne de 38 à 40° pour préparer la digestion du bol alimentaire ; en ne consommant que des aliments froids, l’organisme est contraint de mobiliser les ressources internes pour monter la température de l’estomac, au détriment du reste… parfois source de grosse fatigue après le repas. Terminer au moins par une boisson chaude (café, infusion, thé) pour remonter la température ambiante et faciliter le travail. Pas trop chaud non plus pour éviter les chocs thermiques. L’idéal serait de manger et de boire tempéré ! La fraîcheur ressentie, si elle peut faire du bien dans l’instant, sera éphémère… Eviter le trop sucré, trop salé, et l’alcool qui ont tendance à assécher l’intérieur rapidement ; un petit apéro de temps en temps, avec plaisir et modération, mais pas tous les jours ! Il est bien entendu nécessaire de boire de l’eau pure entre les repas, 1 à 2 litres en fonction de la température, de l’activité, de la transpiration… Eviter aussi le barbecue au quotidien qui engendre beaucoup de toxines ! Organisez à l’avance des boites de légumes crus et cuits, féculents et protéines, à sortir du frigo ½ heure avant les repas, idéale formule Bowl à composer par chacun selon ses envies sans se prendre la tête pour les menus ou trop de temps pour les préparer. Et de temps en temps, on fait la fête !
Côté boissons, même si le rosé vous tente, tellement synonyme aussi de vacances réussies, n’en abusez pas, il est souvent beaucoup trop frais et gorgé de sucre qui assècheront votre organisme, sans étancher véritablement votre soif.
Optez pour des jus frais de fruits maison, des smothies fruits/légumes, laits végétaux, ou par exemple citron/menthe/gingembre bio au mixer, filtré et rallongé de beaucoup d’eau : un cocktail dynamique qui rafraichit, apaise le corps et l’esprit et stimule l’organisme. Pensez au thés ou infusions frais ou tièdes, sans oublier l’eau pure et tempérée.

Limiter la température

Vous pouvez mettre au réfrigérateur des petites serviettes humides à placer sur la nuque pour faire descendre la température corporelle (fonctionne aussi pour la fièvre en attendant de faire mieux) ; idem avec des petites canettes réfrigérées entourées d’un linge. Bains de pieds avec de l’eau fraîche, brumisateurs… On peut aussi placer son tee shirt de nuit ou son drap au frais dans un petit sac avant de les utiliser pour la nuit, ou de légèrement les humidifier pour faire baisser la température du corps. On oublie la glace trop radicale, il vaut mieux agir plus souvent et en douceur.
Pour la chambre ou le salon, laisser les volets fermés le jour et aération nécessaire dès qu’il y a un peu d’air ou de fraîcheur ; pensez à humidifier une grande serviette ou un drap placé devant la fenêtre, avec l’air ou simplement la production d’une légère humidité, le ressenti sera moins élevé. En plus ou à la place, une bouteille d’eau (de préférence en verre pour éviter les particules) congelée et placée sur un meuble (le froid descend) dans un support (bol ou assiette) pour récupérer la condensation, surtout si le support est en bois…
Revenir aux traditionnels éventails sans excès parce que dès que l’on s’arrête, l’effet rafraichissant s’inverse !
On privilégie les vêtements en coton et amples, on évite les sports trop toniques pour favoriser la natation si on le peut, la marche tranquille au bord de l’eau, de la rivière, en sous bois, pratiquer le yoga, les étirements, la méditation silencieuse ou musicale…
Si le rythme de la vie familiale s’y prête, on préfèrera se coucher et se lever avec le soleil, quitte à faire un petit temps calme à l’ombre au moment de la sieste.
Et on n’oublie pas de respirer, cela permet de réguler la température corporelle, surtout si l’environnement est favorable : gonflez et nettoyez vos poumons, ouvrez la cage thoracique et chargez votre cœur de belles énergies !

Les soins de peau

On évite de préférence les crèmes de jour ou de nuit qui ont tendance à boucher les pores et à ne pas laisser respirer la peau ni favoriser la transpiration naturelle et nécessaire. Si l’on prend plusieurs douches par jour pour se rafraichir, pas de savon systématique s’il n’est pas nécessaire au risque de décaper la peau et lui ôter sa protection naturelle : le savon sera le plus naturel possible pour notre nature et la nature et la douche tempérée pour ne pas créer de choc thermique.
Bien entendu, protection solaire à fort indice pour les peaux fragiles, sensibles, non préparées, voire un tee shirt pour aller dans l’eau à cause de la réverbération qui accentue la puissance des rayons. Et surtout chapeau, lunettes de soleil et beaucoup d’ombre, seule protection naturellement la plus efficace et la moins dangereuse pour notre santé, fuyez les espaces ensoleillés aux heures les plus chaudes… sinon, fatigue assurée !
S’il y a coup de soleil malgré tout ou rougeurs, le gel d’aloe vera réfrigéré (le vrai ou une feuille coupée et conservée au frais) sera votre meilleur allié pour rafraichir et réparer. Au besoin avec un peu d’huile végétale et 2 ou 3 gouttes d’huile essentielle de géranium, lavande ou lavande aspic avant le coucher seulement, si vous avez l’habitude de les utiliser. Pour l’hydratation, une bonne huile végétale fera l’affaire en fin de journée sans saturer les pores de la peau. L’astuce du frais sur la nuque est toute indiquée aussi en cas de coup de soleil !

Côté moustiques, le géranium et l’eucalyptus citronné permettront de les éviter au moins un peu (sur un petit mouchoir en papier collé au dessus du lit ou en répulsif sur les poignets, arrière des oreilles…) et la lavande aspic apaisera les piqûres. Attention, jamais d’huile essentielle avant une exposition au soleil !

Ces solutions simples et accessibles ne coûtent rien, juste d’y penser le moment venu.

Si on refaisait des vacances le moment privilégié pour ENFIN se reposer, éviter de courir partout, en profiter pour s’amuser vraiment, rire, chanter, danser, vivre simplement en toute liberté ?

Et si, pour ce précieux temps estival, on réhabilitait le Farniente ? (pour mémoire, définition : emprunté de l’italien far niente, « ne rien faire ». Oisiveté volontaire et plaisante).

Le farniente est une merveilleuse occupation. Dommage qu’il faille y renoncer pendant les vacances, l’essentiel étant alors de faire quelque chose.  Pierre Daninos

Douces et joyeuses vacances à vous ! 

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La bromélaïne est une enzyme extraite de l’ananas (racine et tige), utilisée en médecine traditionnelle d’Amérique du Sud et Centrale ainsi qu’en Inde et en Chine. Elle possède de multiples vertus notamment anti-inflammatoires, analgésiques et digestives, c’est un produit naturel aux propriétés insoupçonnées que nous vous invitons à découvrir.

Au niveau digestif, la bromélaïne permet une meilleure dégradation des protéines en acides aminés pour favoriser la digestion et l’assimilation, l’atténuation des ballonnements, des gaz et des brûlures d’estomac. Elle améliore la qualité des urines, tonifie l’organisme et optimise la santé globale.

En prise ciblée elle permet aussi la perte de poids et la réduction de la cellulite, l’allègement des troubles menstruels, des spasmes, améliore la qualité des os ; elle peut aider à réduire les multiplications intempestives des cellules (notamment en cas de kystes, fibromes…), elle soulage les effets des maladies auto-immunes, ralentit le vieillissement des cellules, améliore le confort visuel…

Elle offre aussi des résultats encourageants dans le traitement des cellules cancéreuses grâce à son potentiel antitumoral et antimétastasique, bien entendu sous contrôle et approbation médicaux. Elle potentialise certains traitements et atténue leurs effets secondaires, notamment sur le système digestif. Si vous prenez un traitement lourd, notamment en cas de chimiothérapie, n’hésitez pas à en parler à votre médecin traitant.

Cette enzyme particulière est partiellement bien absorbée par le système sanguin, contrairement à beaucoup d’autres enzymes, ce qui la rend plus efficace avec un effet systémique, en inhibant les facteurs inflammatoires et l’agrégation plaquettaire, favorisant une meilleure circulation sanguine, avec un effet bénéfique sur la réponse immunitaire. Elle est ainsi recommandée après les interventions chirurgicales, les traumatismes et les longues maladies, l’arthrite, la sinusite, globalement les douleurs inflammatoires et constitue une belle protection anti-infectieuse…

La bromélaïne est ainsi une alliée en cas d’oedème ou de congestion, raideurs et douleurs articulaires, cicatrisation, meilleure circulation globale.

Pour disposer de la concentration optimale de bromélaïne à titre thérapeutique, il nous faudrait consommer beaucoup d’ananas : 100 g d’ananas correspondant à environ 100 mg de bromélaïne, il serait nécessaire d’aborber 1 kg de ce fruit dans la journée pour obtenir la concentration en enzymes utiles !

Comme cette enzyme est particulièrement fragile, elle doit être encapsulée de façon gastro-résistante pour un meilleur effet, ce que proposent les compléments nutritionnels en nous simplifiant la prise optimale : la recommandation est d’un gramme par jour environ à ajuster aux besoins, soit 5000 « Gelatin Digesting Unit », préparation hautement concentrée et de qualité biologique sans additif ; la dose recommandée dépendra de l’effet recherché, votre professionnel vous conseillera.

Le moment de la prise de bromélaïne sera différente en fonction de la cible thérapeutique :

• Pour les problèmes digestifs et la perte de poids, les gélules seront à prendre pendant les repas
• Pour les autres indications, la prise se fera en dehors des repas (1/2 heure avant ou 3 h après)

Précautions : attention aux traitements médicamenteux en cours et notamment les anti-coagulants, déconseillé chez la femme enceinte, les jeunes enfants et en cas d’allergie, d’intolérance ou de sensibilité particulière à la bromélaïne. S’agissant d’un produit naturel de complémentation nutritionnelle, les effets ne sont parfois pas immédiats car il agit comme modificateur de terrain de façon progressive et doit être pris dans la durée avec régularité pour un effet doux et profond en respectant les préconisations sur l’emballage et les recommandations médicales. Dans tous les cas, et surtout lors d’un régime amaigrissant, il n’est pas conseillé de prendre des compléments nutritionnels au long cours et de faire régulièrement des pauses. Au besoin, consultez votre médecin ou votre thérapeute pour davantage de conseil adapté en toute sécurité.

Même si les autorités de santé européennes n’autorisent pour le moment aucune allégation officielle de ses propriétés, les nombreuses études scientifiques sur les trésors que nous offre la bromélaïne mettent en avant son potentiel pour aider les patients à moins souffrir sans effet secondaire, avec des résultats très encourageants

Bien entendu, juste pour le plaisir, la gourmandise et l’entretien de votre santé, l’ananas vous apportera en douceur tous ses bienfaits dans une consommation raisonnée, frais et sans sucre ajouté, nature ou en granité pendant les chaleurs de l’été, au début ou en dehors des repas, avec ses fibres, ses minéraux et ses précieux enzymes. Une petite astuce pour bien le choisir : tirez sur l’une des feuilles intérieures et si elle vient facilement, il est mûr à point J Régalez-vous en prenant soin de vous !

« Soyez comme l’ananas : tenez-vous droit, portez une couronne,

Soyez fort à l’extérieur et doux à l’intérieur ! »

Ressource complémentaire, voir la présentation de Luc Bodin : https://luc-bodin.fr/therapies/bromelaine/la-petite-video-n30-merveilleuse-bromelaine/

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Les émotions n’existent pas seulement dans l’esprit, elles sont les vecteurs de communication avec notre corps qui choisit le lien symbolique avec elles pour tenter d’exprimer une difficulté passée trop inaperçue… De la contrariété récurrente au traumatisme, les émotions non exprimées restent dans le cœur, dans le corps, dans les fascias qui ont retenu l’action ou l’expression de notre malaise, et lorsque la coupe est trop pleine, les maux apparaissent, juste à l’endroit le plus approprié pour nous parler de ce que nous n’avons pas vu ou voulu voir : un signal s’allume, créant de la matière, des trous, des déséquilibres ou de la douleur, pour tenter de focaliser notre attention et notre conscience afin de résoudre, voire de dissoudre le problème.

Chaque fonction organique, chaque partie du corps a ainsi beaucoup de révélations à nous faire, pour peu que nous apprenions à écouter, à accepter, à accompagner l’expression de ces troubles.

Nous avons choisi ce mois-ci de vous parler des genoux dont souffrent tellement de personnes. Bien entendu, les différents maux associés à cette fonction corporelle peuvent provenir de multiples raisons comme le poids, l’acidité, les accidents, l’usure professionnelle, les faiblesses… Si le soin de l’aspect purement physiologique et mécanique est différent en fonction des pathologies, cette articulation dispose de fonctions et d’usages bien définis qui nous permettent de tenter une compréhension de l’origine psycho-somatique ; cette approche permet de donner plus de sens et d’accompagner la réparation afin de la rendre plus durable : si je perçois ce que mes genoux cherchent à me dire, je peux plus facilement en prendre conscience et mettre en œuvre les petits ou grands changements, dans le physique et/ou dans l’esprit, nécessaires pour éviter la répétition.

Le genou est l’articulation d’union entre la cuisse et la jambe, elle connecte le fémur au tibia par la rotule avec des ligaments et tendons très puissants, afin de permettre solidité et mouvements : se lever, se baisser, marcher, monter…. Les pathologies du genou peuvent être multiples : inflammation, contusion, entorse, déchirures, fractures… et chacune viendra nous éclairer dans la tonalité de la fonction mécanique du genou. La question préalable à se poser est la suivante : à quoi sert le genou pour moi ; la réponse ne sera pas systématiquement la même pour tout le monde car nous avons une vision interne qui peut sensiblement différer et c’est bien cette réponse qui permettra de détecter potentiellement le problème caché.

Toute articulation nous parle de souplesse, intérieure ou vis-à-vis des autres, d’humilité, de force profonde, de posture à tenir, de capacité à lâcher… La rotule constitue le joint essentiel de notre fluidité, la liberté des mouvements, la capacité à vivre les expériences, les changements, à se sentir solide et soutenu…

Viennent ensuite se rajouter les fondamentaux de cette articulation : plier, se mettre à genou, être flexible, céder, se résigner, mémoires d’esclavage et religieux, servitude… bref tout ce qui, en positif ou en négatif, nous permet d’envisager l’utilité globale du genou, et d’en déduire peut être des excès ou des manques, des traumatismes inconscients qui choisiront le genou pour s’exprimer, parfois longtemps après.

Ce n’est pas si simple surtout s’il s’agit de notre propre genou, car si quelque chose est passé inaperçu et nous a suffisamment heurtés, l’inconscient fera son travail en laissant l’affaire dans l’ombre, alors que la conscience préférera mettre à jour cette difficulté pour la résoudre, et la partie du corps en rapport symbolique la plus proche sera chargée de nous transmettre le message, parfois de façon cuisante, surtout quand on ne l’écoute pas…

Pour illustrer les problématiques potentiellement exprimées par les douleurs aux genoux, voici quelques exemples : acceptation (trop ou pas assez), soumission à l’autorité, conflit, rigidité dans les relations, volonté de s’imposer, excès de fierté, d’ego, regrets, manque ou excès de conciliation, devoir obéir sans envie et désobéissance, vouloir toujours avoir raison, dévalorisation, résistance, peur d’être dominé, soumis, sensation d’insécurité, d’être submergé, manque de stabilité, de flexibilité, d’adaptabilité. Le fait de se sentir dépassé par manque de soutien (par soi ou les autres) nous bloque, nous déstabilise, les genoux absorbent trop le poids du corps et des émotions avec une résistance rigide au changement, à l’avancement, avec la sensation de trop porter (qui peut aussi affecter les épaules). La rigidité et les tensions sont le miroir de nos luttes intérieures : le genou reflète la manière dont nous surfons sur les challenges proposés par la vie, les transitions, comment nous puisons dans nos ressources personnelles pour tout à la fois contrôler et stabiliser la situation, en souplesse, sans s’acharner ni abdiquer précipitamment.

Bien entendu, la lecture sera différente en fonction du problème concerné : s’il s’agit de la structure osseuse, l’orientation sera davantage vers la valeur personnelle, révolte contre l’autorité, culpabilité ; les tendons et ligaments, symbolisent les liens, ce que l’on retient avec une colère rentrée, attachement à une personne ou une situation : l’inflammation des tissus (comme l’arthrite, cristaux dans l’articulation) parlera plus de cristallisation, d’acidité envers soi et/ou les autres ; l’arthrose (détérioration du cartilage, douleurs au mouvement) supposent une dévalorisation, usure morale… le tout complété avec la tonalité générale des pistes proposées précédemment.

La langue des oiseaux (écoute phonétique) nous suggère aussi quelques pistes supplémentaires : le genou nous parle du je et du nous (mon unité intérieure ou vis-à-vis d’autrui, comme le couple ou autres relations), je noue (je fais des nœuds), jeune où ? (difficultés à accueillir le temps qui passe).

Comme pour toute tentative de décodage, ou plus exactement de donner du sens à nos maux, il sera intéressant de noter ce qui s’est passé dans les jours ou semaines avant l’émergence du problème, afin de détecter le déclencheur potentiel. Ceci n’empêche bien sûr pas d’apporter le soin nécessaire en priorité, le décryptage servira néanmoins à prendre conscience des difficultés passées trop inaperçues et d’y remédier en pensée, en parole ou en action, afin d’accompagner plus profondément et plus durablement le processus de réparation.

Les émotions exprimées par les genoux sont une alerte pour prendre conscience d’un problème important pour nous, vis-à-vis de nous-mêmes ou des autres, dans la relation à soi ou interpersonnelle, afin que le soulagement puisse s’opérer par l’action juste et nécessaire pour retrouver l’équilibre : changement d’attitude mentale, comportementale, décisions à prendre, souplesse à retrouver… lâcher prise. Le soulagement des douleurs sera l’acte numéro un, la reconnexion au corps et l’accueil de ces hypothèses pourront ensuite accompagner le retour à l’équilibre, avec des pratiques simples, des prises de conscience, des actes, et bien entendu une bonne hygiène alimentaire pour éviter de mettre de l’huile sur le feu, ou de l’inflammation supplémentaire sur les douleurs.

Les hypothèses sont nombreuses, l’expression verbale est invitée à s’essayer de mettre des mots sur ces maux, comme un accusé de réception du message même s’il n’est pas évident d’y voir clair : la communication enfin rétablie avec l’expression corporelle et le ressenti qui cherchent depuis longtemps à nous parler, est une étape essentielle pour ne plus être en conflit avec le conflit, accepter le fait sans le subir afin de trouver un sens probable et des solutions pour soulager et guérir, avec la tête et le cœur.

A MEDITER…

Même si le chêne est plus résistant, son orgueil le perd ; le roseau est plus humble dans ses paroles et son attitude, avec acceptation, sagesse et patience… moralité : je plie et ne romps pas

Le chêne et le roseau de Jean de la Fontaine

Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, notre prochaine formation est prévue dimanche 27 avril !

 Retrouvez la suite du programme prévisionnel sur notre site le planning des formations

TARIF DES FORMATIONS : 110 € la journée – certificats de formation

Non éligible au CPF

Autres dates possibles sur demande, groupes de 4 à 6 personnes,
Détail des formations sur notre site : Centre de Soins Naturels
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