[ bonne rentrée sous le signe de l’équilibre ! [

Les glucides sont essentiels au fonctionnement de notre organisme, tout comme les lipides et les protéines notamment, en fournissant à nos cellules l’énergie quotidienne nécessaire, on les appelle aussi les sucres lents (molécules complexes) à ne pas confondre avec le sucre dit « rapide » (molécules simples) dont les excès sont si néfastes à notre organisme (troubles métaboliques, douleurs, manque de concentration, fatigue, poids…).

Pour faire simple, les glucides lents sont à privilégier (index glycémique bas comme les céréales complètes, les légumineuses, certains légumes…) et nous devons éviter absolument les excès de sucres rapides qui se cachent partout (sucre raffiné et sucreries, pâtes blanches, céréales transformées, boissons sucrées, pain blanc, pâtisseries industrielles…aliments beaucoup trop sucrés qui n’apportent rien à l’organisme, voire le détériorent). Si l’on consomme trop de ces dérivés sucrés, le corps fabrique beaucoup d’insuline pour équilibrer en permanence la glycémie (taux de sucre dans le sang) avec un effet notoire si ces variations sont importantes et fréquentes. Il peut s’installer une résistance à l’insuline avec des conséquences délétères sur le métabolisme : à court terme, coups de pompe, difficultés de concentration, inflammations, prise de poids, problèmes de sommeil, de peau… et à long terme un dérèglement de la fonction pancréatique pouvant conduire au diabète ou encore à des dérèglements majeurs de la fonction intestinale, du système cardiovasculaire et neurologique.

Notre corps adore les glucides car elles sont beaucoup plus faciles à transformer en énergie que les protéines ou les lipides, il nous faut donc lui en donner mais des bonnes : la nourriture est notre carburant qui conditionne notre bon fonctionnement. Nous continuons à consommer beaucoup trop de mauvais glucides, il y en a à chaque repas et collation : des féculents ou céréales raffinés et sucrés le matin, les collations et repas industriels, l’alimentation de plus en plus déséquilibrée majoritairement à base de pâtes, de pain, de féculents tout prêts parce qu’il faut faire vite, puis l’on se plaint de manquer d’énergie, de mal digérer, le corps sature. Excès de mauvais glucides et de gluten qui encrassent l’organisme, jusqu’aux intolérances et pathologies intestinales qui ne cessent de croître.

Si le choix alimentaire doit être adapté à chacun, à ses goûts et à son activité du jour (un sédentaire n’a pas autant besoin d’énergie qu’un sportif ou d’un travailleur physique) la proportion des glucides doit représenter environ 50 % de l’alimentation. Il s’agira davantage de choisir des bons glucides de qualité à faible index glycémique que de réduire la quantité pour donner au corps ce qui est nécessaire, sauf dans les cas où l’on choisira des alternatives réduites en glucides à visée de perte de poids par exemple, comme les diètes low carb ou keto, qui doivent être supervisées pour ne pas déséquilibrer le métabolisme.

L’assiette potentiellement la plus équilibrée devrait donc contenir une moitié de glucides complexes (féculents de bonne qualité, légumes en quantité) en commençant par les fibres pour préparer le système digestif), l’autre moitié composée de deux tiers de lipides (de bonnes graisses dont notre cerveau raffole : huiles et beurres, graines et oléagineux, œufs, poissons gras, viandes maigres, avocat) et un tiers de protéines (animales ou végétales comme le tofu ou les légumineuses), éventuellement un petit dessert peu sucré pour finir sachant que le sucre freine la digestion et engendre de la fatigue après le repas...

Un adulte a besoin d’environ 250 g de glucides par jour (fournis par les féculents, les céréales, le fructose des fruits et légumes, et le lactose des laitages), donc les produits sucrés consommés en plus de cette base suffisante ne devraient pas excéder 30 g, soit environ l’équivalent de 6 morceaux de sucre par jour…

Juste pour avoir une petite idée, une canette de boisson sucrée équivaut à 7 morceaux de sucre, tout comme une barre chocolatée, un pain au chocolat ou un maxi cookie, un grand bâtonnet glacé, un bol de céréales sucrées, 7 bonbons… Ces glucides rapides superflus sont sans compter le sucre caché ajouté aux préparations salées (4 morceaux de sucre pour une pizza, une baguette de pain blanc ou une soupe industrielle…). Autrement dit, on rajoute souvent le double voire le triple à nos réels besoins quotidiens ! Et on stocke…Pour mémoire, les excès de glucides sont transformés en lipides donc en graisse, et le trop de sucre sape notre énergie… un cercle grandement pernicieux pour notre santé, notre poids, notre forme et le fonctionnement de notre cerveau.

Les associations d’aliments sont aussi importantes car les synergies permettent de mieux digérer les aliments et d’en optimiser les bienfaits pour notre organisme : on distingue en effet

– les glucides forts en amidon (pain, pâtes, riz, céréales, quinoa, sarrasin) et ceux faibles en amidon (pomme de terre, patate douce, potiron, flocons de céréales…)

– les protéines animales (viande, charcuterie, œufs, volaille, poissons et fruits de mer, fromages à pâte cuite…) dites fortes et les protéines dites faibles (légumineuses, oléagineux, algues, champignons… et certains fromages),

Il est conseillé d’éviter les repas simultanément riches en protéines, féculents, gras et sucre (les pâtes à la bolognaise ! le hamburger frites !) et de plutôt privilégier certaines associations pour une meilleure digestion/ assimilation/ santé, tout en simplifiant les assiettes :

• Protéines fortes + amidons faibles + légumes (exemple : protéines animales et légumes)
• Protéines faibles + amidons forts + légumes (exemple : légumineuses ou légumes et riz)
• et de manger les fruits crus seuls en dehors des repas

Les glucides pourront ainsi être utilisés dans les meilleures conditions tout en apportant les lipides, protéines et autres vitamines dont notre corps a besoin.

On le sait, et pourtant on continue de consommer de façon démesurée des produits sucrés notamment le matin alors que l’idéal est de manger salé avec de bons lipides : un petit déjeuner sucré nous fournit de l’énergie pendant 2 heures avec un pic de glycémie ; un petit déjeuner protéiné/salé nous gardera en pleine forme pendant 4 heures, sans pic de glycémie. En cette période de rentrée, retrouvons progressivement les bonnes habitudes pour notre santé et celle de nos chers petits afin d’éviter les yoyo d’insuline, les cerveaux hyperactifs et ceux qui n’arrivent plus à se concentrer, les grosses fatigues du matin et les grandes excitations du soir, et potentiellement les désordres plus graves qui peuvent survenir à long terme… Il suffit d’avoir la volonté et l’organisation pour reprendre petit à petit les bonnes habitudes de nos aïeux qui dégustaient un bon « casse-croûte » salé et ‘gras’ avant d’entamer leur journée.

Comme les écoliers, soyez pleins de bonnes résolutions pour votre forme et votre santé, (alimentation, hydratation, exercice physique régulier…) et tenez-les !

Pour en savoir plus :

• « l’alimentation : l’assimilation des glucides » https://www.youtube.com/watch?v=0Z6d1hsvw-M
• glucoseGoddess sur instagram et sur youtube

 « Le secret pour bien vivre : manger à moitié, marcher le double, rire le triple et aimer sans mesure »

Proverbe tibétain

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Bonne rentrée sous le signe de l’équilibre ! 

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Cet organe discret en forme de poire de quelques centimètres situé sous le foie est assez méconnu et mérite quelques lignes afin d’appréhender sa fonction physiologique, mais aussi symbolique avec son impact psychosomatique… autrement dit : à quoi elle sert, ce qu’elle cherche probablement à exprimer quand elle dysfonctionne… et comment en prendre soin.

Sur le plan purement fonctionnel et organique, c’est une vésicule, donc un espace de stockage qui contient de la bile, substance jaune à verdâtre produite par le foie, et destinée à faciliter la digestion, notamment en favorisant l’émulsion des graisses difficiles à digérer. En fonction des besoins détectés, le cerveau commande la bile nécessaire qui sera envoyée dans le duodénum, lequel recueille le bol alimentaire issu de l’estomac et les sucs pancréatiques, le tout sera trié et utilisé  selon nécessité dans l’intestin grêle, puis le reste s’évacuera par le gros intestin (colôn). Ainsi, lorsque la digestion est perturbée, il faudra bien regarder dans la chaîne complète où peut se trouver l’origine du trouble : le foie, en fonction de son état, qui peut produire une bile de mauvaise qualité, trop ou trop peu ; la vésicule elle-même peut contenir des boues ou calculs (petites cristallisations) signe d’un mauvais transit de la bile, le duodénum qui ne peut plus assurer sa fonction (préparation de la digestion, absorption des nutriments) ; l’intestin grêle dont les parois sont hyperporeuses ou dotées d’un microbiote inadapté ; le côlon trop paresseux…

La vésicule biliaire est un puissant outil de régulation, notamment du cholestérol, d’assimilation et de détoxination. Lorsqu’il y a ablation (l’origine étant parfois génétique mais très souvent en lien avec une mauvaise alimentation), la bile toujours sécrétée par le foie n’est plus stockée en attente d’utilisation et se diffuse au fur et à mesure de sa production dans le duodénum, cela peut donc entrainer des excès comme des insuffisances.

Le foie et la vésicule biliaire sont deux organes phares qui assument de très nombreuses fonctions, il convient donc d’éviter de les encrasser, et de prévoir un nettoyage régulier en rapport avec les besoins, surtout au printemps, saison de plénitude ce ces organes ; il est possible de le faire à d’autres moments si nécessaire, afin d’éviter l’accumulation de toxines, métaux lourds, mucus, boues et calculs qui bloqueront la circulation de la bile et donc perturberont tout le processus digestif, notamment pour les personnes avec de gros traitements chimiques.

Les symptômes principaux associés aux dérèglements de la vésicule biliaire en association avec le foie souvent sont des maux de tête, des nausées et/ou perturbations digestives, sensibilité au stress, des douleurs musculaires, des problèmes aux yeux, des diarrhées, le teint jaune, fatigue, état dépressif… Une acidose tissulaire chronique peut même entrainer un encrassage des émonctoires, dépôts de minéraux et donc calculs biliaires.

La médecine chinoise nous enseigne que le foie et la vésicule ont pour support l’énergie du bois (le végétal en général) qui pousse au printemps, c’est la pulsion de la vie qui renait. Cet élément régit l’énergie de ces organes ainsi que les yeux, les tendons et les muscles, l’organisation de la vie, les décisions, la colère, l’audace, le courage…

Le méridien de la vésicule biliaire n’est pas par hasard un des plus longs, de la tête aux pieds, signe de son importance tant énergétique que psychologique et organique sur l’ensemble du corps : c’est le maître intérieur, la connaissance fondamentale de « qui je suis » qui décide ses choix en conscience, souvent relié en cela au supramental, expérience fluide de la conscience sans intervention du mental inférieur. Le monde extérieur peut nous envahir, si le maître intérieur veille, la « digestion » des influences se fera sans peine, avec respect, les interventions extérieures ne sont pas subies comme une ingérence. La vésicule biliaire représente comment je digère le monde et son influence sur mon fonctionnement interne, elle peut vouloir désacidifier un conflit.

Le décodage psycho-énergétique : Le fonctionnement de la vésicule biliaire, dans son aspect symbolique, est en lien avec notre capacité à prendre des décisions, à poser un jugement sain, à faire des choix, des décisions sur la marche à suivre pour soi, avec courage et dynamisme. S’il y a préoccupation forte, réactions intempestives et excessives, frustration voire indignation, son fonctionnement sera perturbé, et inversement. Lorsque la vésicule biliaire est en excès, on se fait trop de souci (trop de bile, ça prend la tête…) avec irritabilité, soupirs, amertume, rancune, colère, jugement… et surtout peut être rancœur) ; en insuffisance, on constatera de l’indécision, des vertiges, des éblouissements, des gênes aux genoux, tendons, muscles, procrastination, découragement. Lorsque le foie et la vésicule biliaire sont équilibrés, nous gardons notre énergie vitale et libératrice. La vésicule biliaire permet donc symboliquement de rendre plus fluide ce qui est compliqué dans nos vies, de prendre de nouveaux départs avec élan, elle enclenche le mouvement en avant, facilite la digestion des choses difficiles comme elle le fait pour les graisses afin de les rendre digestes et utiles, favorise des décisions claires, équilibrées, rapides, les pensées sont ciblées avec souplesse mentale et physique.

Les pathologies de la vésicule biliaire, même si chacune aura ses nuances de sens, auront probablement comme origine, en plus des excès alimentaires et autres causes héréditaires, rétention, jalousie, frustration, obstacles occasionnant lutte et défense sans pouvoir avancer, invasion réelle ou symbolique, sentiment d’injustice, cristallisation de pensées dures (boues et calculs), aigreur, amertume, rancœurs, grinçage de dents (dedans)… comme autant de durcissements ou de lourdeurs des émotions refoulées, inconscientes… on garde tout… constipation. Ou calculs : on calcule trop, il y a obstruction de la fluidité.

S’il y a une résonnance émotionnelle et trans-générationnelle à l’origine de nos symptômes, il sera toutefois toujours nécessaire de s’occuper simultanément voire prioritairement de ceux-ci avec tous les moyens utiles pour soigner le corps avant de chercher à en comprendre la cause, puis d’encourager les changements de comportement et les désactivations émotionnelles. Et bien entendu, pour un foie, une vésicule biliaire et un pancréas en bonne forme, donc sollicités à leur juste mesure, il faut impérativement réduire les mauvaises graisses (animales) et les excès de sucre (alcool, sucres directs ou cachés), on ne le répétera jamais assez ! Préférez les aliments équilibrants : céréales entières ou demi-complètes sans trop de gluten, légumes à feuilles et aubergine, légumineuses, germes et champignons, avocats, oléagineux, les saveurs doucement acides, vinaigre de cidre, lacto-fermentés, boldo, romarin, curcuma…et l’hydratation !), évitez de manger deux à trois heures avant le repos nocturne (foie et vésicule biliaire travaillent la nuit, inutile de les surcharger !)

Faites vous plaisir raisonnablement pour leur rendre ce précieux service 😉

Ressources : https://www.professeur-joyeux.com/2014/12/16/votre-vesicule-biliaire-vous-parle/

 « L’augmentation de la Sagesse se laisse mesurer exactement

d’après la diminution de la bile ».

Friedrich NIETZSCHE

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Bel été à vous !

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La vie est un partage permanent, un échange relationnel constant, à la recherche d’un équilibre. Nous avons pourtant trop souvent été éduqués avec cet élan de générosité pour les autres, cette abnégation, ce « don de soi » qui va parfois jusqu’au sacrifice et nous fait oublier trop souvent que nous sommes aussi importants que les autres.

On aime ainsi donner, de notre temps, de notre argent, de notre écoute, de notre compassion, de notre amour bien sûr, et c’est tellement bon ! Bien inconsciemment pourtant, on nourrit involontairement notre besoin d’exister, d’être apprécié, aimé, reconnu… fruit de nos manques structurels personnels, l’Autre étant plus important, davantage digne d’être aimé et aidé que soi. Il est difficile de se donner à soi-même autant que l’on offre aux autres, car souvent on ne s’aime pas suffisamment pour cela, nous ne sommes pas assez « aimables » pour mériter que l’on s’occupe de nous et encore moins que les autres puissent nous considérer. Conditionnement, habitudes, éducation… héritage transgénérationnel.

Il est bien difficile voire gênant pour certains de recevoir, comme si l’on était indigne du cadeau, trop pour nous, nous ne sommes pas assez « bien », cela peut même paraître suspect, on attend forcément un retour de notre part. Comme nous sommes davantage centrés sur notre image et ce que l’on pense de nous que sur l’acte lui-même, nous passons à côté du bonheur de recevoir et du plaisir d’offrir. Donne-t’on pour recevoir ? Refuse-t’on de donner par peur de manquer ou d’être trahi ? Est-ce indécent de recevoir car je ne mérite pas ? Autant de questions qui méritent d’être posées, le moment venu, juste pour démasquer les programmes bloquants qui se cachent et empêchent la loi de l’attraction et de la fluidité de se manifester.

Nous pouvons parfois avoir peur d’être redevable à quelqu’un qui nous donne quelque chose, c’est oublier que l’Univers ne calcule pas ainsi : on donne (devrait donner) pour le plaisir, non pas pour ce que cela peut coûter ou rapporter, ce plaisir devient une énergie qui alimente la loi de la cause à effet, la grande loi de l’attraction. Ainsi, ce que l’on donne avec le coeur nous reviendra au centuple, mais pas nécessairement par le biais de la personne à qui nous avons offert quelque chose ; c’est un concept un peu nouveau et très embarrassant pour le mental qui n’a pas eu l’habitude de fonctionner ainsi.

Certains n’aiment pas donner, par peur de manquer, par absence de générosité ou pour dominer ; d’autres sont trop généreux, souvent pour être appréciés, sans trop aimer être remerciés… et il y a ceux qui ne souhaitent pas recevoir, gênés par la démarche. Dans tous les cas, cette absence de fluidité empêche l’énergie de circuler, bloque le processus naturel de l’abondance, Il nous faut dépoussiérer nos programmes et entretenir davantage de spontanéité dans nos élans. Cela s’apprend, cela se cultive, avec plus de conscience dans les moments où les vieux réflexes refont surface, pour se focaliser sur la joie de donner, d’offrir, de recevoir, dans une gratitude qui vient du fond du cœur.

C’est le principe même du libre échange, de la libre circulation de l’énergie sous toutes ses formes, dans la bienveillance, le détachement, le désintéressement, bref la joie réciproque qui nous remplit de satisfaction profonde, seule façon de rendre pur et durable le bénéfice de ce Don. Et bien sûr il commence par soi-même : comment peut-on prétendre donner aux autres ce que l’on ne sait offrir à cet être en besoin que nous sommes ? Du temps, de l’attention, du soin, de la bienveillance, de la patience et beaucoup, beaucoup d’amour. Oui, il faut commencer par s’aimer, avec nos pleins et nos déliés, nos atouts et nos faiblesses, nos qualités et nos défauts, s’apprécier quoi qu’on soit et quoi qu’on fasse : c’est notre challenge quotidien que de s’améliorer petit à petit, avec toutes nos programmations contraignantes, nos conditionnements qui servent rarement nos propres intérêts, nos habitudes néfastes plus rapides que notre conscience, notre boîte mentale et nos comportements impulsifs qui nous jouent bien des tours…

Notre attention quotidienne est encouragée à être un peu plus portée sur des attitudes davantage pertinentes avec nos besoins et nos limites : si l’on me demande quelque chose (du temps, de l’aide, de l’argent, de l’écoute…), suis-je vraiment en mesure, en état de répondre par l’affirmative alors que je n’ai pas le temps/l’envie/les moyens/l’énergie ? En étant honnête avec soi même ce sera de plus en plus facile de détecter la vraie motivation intérieure qui nous fait quand même dire oui alors que ce n’est pas juste : besoin de reconnaissance, d’exister aux yeux des autres, d’être utile/important/apprécié/aimé/accepté, envie de briller un peu, qu’on nous trouve fantastique parce que toujours disponible, joyeux, empathe, débordant d’énergie, le cœur décidément gros comme ça… c’est sans doute vrai, mais à quel prix ? à quel détriment pour soi ?

Il est temps d’être un peu plus honnête avec soi-même pour ne plus donner (trop) ce que nous n’avons pas assez pour nous, ce n’est pas être égoïste, c’est davantage se donner à soi d’abord car personne d’autre souvent ne s’en occupe, se remplir et enfin donner tout ce qui déborde, quand ça déborde. Lorsque les êtres humain commenceront vraiment à s’aimer tels qu’ils sont, certes perfectibles, le monde entier pourra changer car de moins en moins d’êtres se nourriront de l’effet qu’ils ont sur les autres, leurs pouvoirs, leurs possessions, au profit de cette richesse intérieure grandissante, si pure et durable, à laquelle nous devons tous aspirer car nous sommes tous issus du même soleil, quel que soit notre physique, nos richesses extérieures, et nos blessures avec lesquelles il faut bien composer chaque jour.

Dans l’échange sain, la gratitude pourra au fond être la même : la joie profonde que procure le fait de donner tout autant que de recevoir, l’amour circule, inconditionnel, sans intérêt, sans calcul, sans attente, sans contrôle, sans stratégie, sans question… chacun s’enrichit de l’échange et se gratifie mutuellement.

Recevoir, c’est aussi autoriser la joie de celui qui donne, tout aussi précieuse, quelle que soit la valeur ou l’importance du don. Semons, en ce renouveau printanier, des graines de bonheur dans Notre Coeur !

 « Recevoir est un acte de générosité.

En acceptant de recevoir, tu permets à l’autre de te rendre heureux…

et tu le rends heureux à son tour ».

Paolo Coelho

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Parmi les ingrédients simples et anciens accessibles à tous et aux vertus insoupçonnées figure en bonne place le vinaigre de cidre, bien plus qu’une seule base culinaire, véritable trésor à condition de bien l’utiliser.

Traditionnellement destiné à la conservation des aliments tels que les cornichons, fruits, légumes et autres végétaux, il est comme tous les vinaigres particulièrement antibactérien grâce à l’acide acétique -issu de la fermentation- qui permet de passer la membrane cellulaire.

Notre corps a besoin d’une acidité, régulée, pour satisfaire à toutes ses fonctions et le vinaigre peut faire partie des ingrédients utiles pour certaines régulations ; il est à juste titre reconnu pour ses vertus, sans pour autant en faire un usage immodéré sans discernement au prétexte que ses effets seraient miraculeux. Prudence donc, surtout en cas de pathologie lourde et/ou de traitements importants, mieux vaudra toujours faire des essais de compatibilité sous contrôle médical le cas échéant, notamment pour ses effets indésirables possibles.

Il faut toutefois souligner les nombreux domaines étonnants où le vinaigre de cidre qu’utilisaient déjà nos grands-mères fait preuve d’efficacité potentielle, particulièrement sur la digestion, le poids, la peau et les cheveux :

• Comme il fragmente les molécules graisseuses, le vinaigre de cidre facilite la digestion, notamment après un repas copieux et riche ; il soulage les ballonnements et douleurs intestinales, détoxifie le foie et régule l’acidité gastrique tout en éliminant les bactéries pathogènes. Il tonifie et reminéralise l’organisme en douceur, tout en apportant des probiotiques. Il peut être ingéré à jeun ou avant chaque repas pour une visée digestive, toujours dilué dans une eau tiède et sur une courte période.
• Il agit également sur le taux de sucre dans le sang et évite qu’il se transforme en graisse, tout en favorisant la satiété et l’élimination, il peut donc accompagner la perte de poids dans un cadre global d’hygiène alimentaire et de mouvement.
• Grâce à son effet sur le calcaire, il permettra un effet plus protecteur pour les cheveux, brillance et volume… eux aussi ont besoin d’un peu d’acidité.
• Son action anti-inflammatoire et purifiante sera appréciée pour les problèmes de peau, tels excès de sébum, acné, points noirs, les cicatrices et coups de soleil, mais aussi en bain relaxant des pieds pour une détente musculaire et la préparation au sommeil…
• Le gargarisme est indiqué pour les problèmes ORL ou en soutien immunitaire en cas d’allergies.

Le vinaigre de cidre s’utilisera toujours dilué, par cures de 3 semaines seulement, à raison d’une à deux cuillères à café par jour, toutes utilisations confondues (vinaigrette, dilutions cutanées ou orales), pour garder son efficacité tout en douceur, sans agresser l’organisme ni endommager l’émail dentaire, les gencives ou le tube digestif. Une utilisation excessive ou prolongée peut faire l’effet inverse de celui escompté : troubles digestifs, brûlures, irritations, aggravation de l’ostéoporose. Il est contre-indiqué en cas de gastrite, d’ulcère à l’estomac ou de RGO (reflux gastro-oesophagien), et toujours nécessaire de vérifier les interactions médicamenteuses.

En dehors de ces précautions fondamentales, comme tout remède ancien le vinaigre de cidre est un véritable trésor de bienfaits en plus de son utilisation culinaire et il mérite une place de choix, à moindre coût, l’essentiel est d’en avoir toujours une bouteille, bio de préférence bien sûr, à portée de mains. La nature nous a confié ses trésors végétaux, à nous de les étudier pour les mettre en pratique avec la modération qui s’impose afin de profiter de tous ses bienfaits simples, sains et naturels !

Et pour les plus motivés, vous pouvez également et facilement fabriquer ce précieux élixir à la maison : de nombreuses recettes sont disponibles sur le net.

Le printemps pointe doucement le bout de son nez, c’est le moment de préparer les maisons et les jardins tout comme notre écologie intérieure : un bon nettoyage de saison sans oublier notre grand ami le foie ! Pour davantage d’informations sur les traitements naturels de saison, n’hésitez pas à consulter notre blog riche en suggestions 🙂

Ressources supplémentaires :

petite vidéo récapitulative sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=_KNEasCxPDg

« Les fleurs du printemps sont les rêves de l’hiver racontés, le matin, à la table des anges ».

Khalil Gibran

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Parmi les nombreuses musiques de qualité vibratoire supérieure, figure le célèbre Canon de Pachelbel, au même titre que des compositions de Mozart ou de Bach. Leur puissance thérapeutique est aujourd’hui reconnue, grâce notamment aux compositions en résonnance 432 hz, référence sacrée utilisée par de nombreux contemporains comme les Beatles ou encore Prince…

Si on apprécie bien évidement les effets bénéfiques de la musique harmonieuse dans le domaine du soin, on connait un peu moins la puissance de ces formes musicales tellement bien ciblées qu’elles agissent sur certaines parties choisies de notre corps, chacune ayant une vibration spécifique que ces merveilleux musiciens connaissent bien, sans doute de façon intuitive, peut être même l’oreille absolue.

Johann Pachelbel est un compositeur organiste allemand du 17^e siècle, dont l’une des œuvres majeure est le Canon éponyme. Un canon comporte plusieurs instruments ou voix qui jouent à des intervalles différents en même temps, donnant une harmonie particulière dans un équilibre parfait.

Ainsi, le Canon de Pachelbel est connu pour agir sur l’harmonisation des acides aminés.

Les acides aminés sont les molécules à l’origine de la vie, au cœur du fonctionnement de notre corps. Leurs associations jouent un rôle crucial dans le métabolisme et la structure de nos cellules, en permettant la synthèse des protéines absolument nécessaires à la construction du vivant et à son fonctionnement : tissus, muscles, phanères, matrice osseuse, peau, système nerveux, hormonal, enzymatique… Ils sont aussi précurseurs des composés de notre ADN et des neurotransmetteurs.

Il existe 20 acides aminés dans l’organisme humain dont certains dits essentiels comme le tryptophane ou la méthionine que l’on ne trouve que dans une alimentation protéinée, les autres acides aminés comme la tyrosine ou la cystéine sont produits par l’organisme mais parfois en quantité insuffisante, il est donc absolument nécessaire d’avoir une alimentation variée et équilibrée pour que nos besoins en acides aminés soient couverts afin de ne pas risquer de troubles du métabolisme.

Si l’on comprend l’impact de la nourriture sur le fonctionnement de tout notre organisme, il est aussi évident que l’énergie dans laquelle vont pouvoir se manifester ces transformations revêt un impact majeur. C’est pourquoi il est important de veiller à s’offrir une vie saine et équilibrée, avec, rappelons-le encore, suffisamment d’exercice, de respiration, de repos, et une alimentation de nos sens choisie. On connait aujourd’hui l’effet dévastateur d’une mauvaise alimentation tout comme l’excès de pollutions visuelles et sonores, ce sont tellement de perturbateurs sournois…

Mais qui peut le moins peut le plus… en choisissant une meilleure hygiène de vie et de merveilleuses musiques : la vibration hertzienne correspondante viendra agir sur notre métabolisme et notre moral… la belle musique peut aussi guérir !

C’est ce que nous propose Pachelbel avec son Canon, dont la composition comporte les huit notes en résonnance parfaite avec la fréquence d’activité de nos huit acides aminés primordiaux ; autrement dit, en écoutant cette musique que vous reconnaitrez sans doute, vous offrez un bain vibratoire à tout votre corps. C’est une sorte de massage quantique qui va permettre d’agir au cœur de nos cellules, tout à la fois sur la synthèse et l’action des acides aminés et leurs nombreuses connexions avec les fantastiques fonctions de notre corps physique.

Cette écoute est largement conseillée pour toute la famille, en entretien régulier ou curatif, pendant la grossesse, pour calmer bébé en favorisant l’harmonie de la construction, en récupération sportive, en convalescence, en détente du cerveau et du système nerveux, pour la régulation émotionnelle, la relaxation et la quiétude, tout en favorisant l’inspiration et la créativité…

Il existe de nombreuses sources pour écouter cette merveille, notamment sur les plateformes d’écoute comme celle proposée ci-dessous, mais s’agissant de musique compressée par internet, si vous le pouvez n’hésitez pas à vous procurer le CD, la vibration sera encore plus pure et efficace !

Il nous reste à exprimer notre gratitude pour ces compositions qui nous font tant de bien, au quotidien, et dont il serait bien dommage de ne pas profiter. Merci Monsieur Pachelbel !

« La musique est le suprême mystère des sciences de l’homme »  Levi-Strauss

Ressources sur youtube :  https://www.youtube.com/watch?v=d70cm1ReUXI&t=1418s

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